By | 9 juillet 2023

ECCE HOMO : Eros Mauroner ! Photographe depuis 1985, il s’applique à la nature morte et à l’architecture. Depuis 1991, il se spécialise dans le light-painting, avec une recherche sur les figures et crée des images fortement marquées par des choix allégoriques. Il expose dans des expositions privées ou publiques et dans divers centres nationaux et étrangers. En 2001, la revue « Il Fotografo » lui consacre la couverture; en 2005 « Tutti Fotografi » lui consacre également la couverture et un long article. Ses reportages sont publiés dans différents titres de revues nationales. Dans le domaine de la publicité et de l’industrie, il a collaboré avec des unités telles que Merloni, Flos, Centrale del Latte, Asm, Edilkamin, Rocca, Fonderie Ips, Fondital, Alfalaval, Sultzer, Coop, Magis, Volkswagen Italia. Il est professeur de photographie à l’Institut Camillo Benso de Brescia et à l’Académie LABA. Il réalise des reportages mêlant recherche professionnelle et attention sociale. Il a raconté la « Storia di un pacco » à travers des images. C’est l’histoire d’un colis partant de Milan pour rejoindre une famille d’immigrés en Ukraine (publié par Max en 2004). L’exposition est présentée à Gênes, Ovada, Turin, Lecce et lors de diverses iniziatives sur la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie. Il a raconté la « Storia di un pacco » à travers des images. C’est l’histoire d’un colis partant de Milan pour rejoindre une famille d’immigrés en Ukraine (publié par Max en 2004). L’exposition est présentée à Gênes, Ovada, Turin, Lecce et lors de diverses iniziatives sur la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie. Il a raconté la « Storia di un pacco » à travers des images. C’est l’histoire d’un colis partant de Milan pour rejoindre une famille d’immigrés en Ukraine (publié par Max en 2004). L’exposition est présentée à Gênes, Ovada, Turin, Lecce et lors de diverses iniziatives sur la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie. C’est l’histoire d’un colis partant de Milan pour rejoindre une famille d’immigrés en Ukraine (publié par Max en 2004). L’exposition est présentée à Gênes, Ovada, Turin, Lecce et lors de diverses iniziatives sur la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie. C’est l’histoire d’un colis partant de Milan pour rejoindre une famille d’immigrés en Ukraine (publié par Max en 2004). L’exposition est présentée à Gênes, Ovada, Turin, Lecce et lors de diverses iniziatives sur la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie. Lecce et lors de diverses initiatives concernant la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie. Lecce et lors de diverses initiatives concernant la dispersion kurde ; il participe à l’exposition sur le mouvement des femmes avec une série de portraits féminins exposés à l’Umanitaria de Milan en 2006. En 2007 il réalise des images pour l’exposition STANZEVUOTE, sur la mort du samedi soir. L’exposition est présentée en Grande-Bretagne aussi, au sein de l’association « Road’s Victims » de Grande-Bretagne. Il est publié et présenté dans différentes initiatives de « Ass », Victimes de la route en Italie.Il voyagea de nombreuses fois au Kurdistan turc, réalisant une exposition consacrée au peuple kurde d’où est né « CURDI, un popolo negato » (éd. Puntorosso, Milan, 2008). Le livre est présenté au Palazzo Isimbardi lors de la rencontre entre Leyla Zana et la Province de Milan. En 2009 il réalise la série « Sfiorare », un hommage à la Nature entre formes et poésie. En 2001, la Commune de Brescia accueille l’exposition « Pola-Road » au Musée S. Giulia. Au printemps 2011, il expose à Zurigo le premier volet de la série « Come Tu Mi Vuoi », work in progress sur les femmes et l’adolescence.Il réalise des vidéos sur l’histoire et les identités locales, des thèmes qui l’attirent. En 1999, il remporte le « Premio Lombardia » pour sa collection d’images intitulée « …Ho visto volare una bicicletta » (sur le massacre de la Piazza Loggia). En 2002, sa vidéo a reçu la Menzione Speciale Stampa Nazionale au Festival Opere Nuove de Bolzano. La même année, il obtient un prix spécial au Concorso Nazionale Aido avec le court métrage « Domande e Risposte », avec la participation de ses étudiants. La vidéo « Forse Meglio » sur le mythe de la vitesse et la mort du samedi soir obtient le prix Lyons Club 2004. Le court métrage « Una vita su due ruote » remporte le deuxième prix au Concorso Ciclofilmfestival en 2005.En 2006, à Casale Monferrato, il a présenté une vidéo intitulée « The Black Box » ( HYPERLINK « http://www.lascatolanera.com/ » www.lascatolanera.com ). Il l’a montré à Gênes aussi, l’année suivante, au Palazzo Ducale et en 2008 au Spazio ex-Breda à Milan. La série Pola-Road, présentée ici est une sélection Polaroid réalisée lors des différentes éditions des   Mille Miglia, manipulée par transfert. Traduction du texte de présentation. Lien du site.

Photographie de Eros Mauroner réalisée dans les rues de Arles, le 6 juillet 2023. les Rencontres de la photographie de Arles convient tous les pays à se rendre à cette manifestation devenue désormais mondiale. A cette occasion, se croisent, souvent sous des apparences d’anonymat, de grands photographes, comme cet Italien venu intentionnellement d’Italie pour faire le point sur la ville. Le photographe était en train de photographier son modèle préféré, à la chambre grand format 20X25. La mise au point procède d’une application essentielle dans ce genre de photo ; ici sur verre dépoli Fresnel, moyennant une optique Schneider. Il eût été inopportun de ne pas saisir cet instant mémorable. C’est ce que fit Jean Canal.


Trois vidéos insolites, en ceci que rien ne présagea, au cours de ses trois occasions, que je rencontrerais Lucien Clergue qui apparaît dans la 3ème vidéo, lequel en compagnie du maire de l’époque, fut invité à l’inauguration des photographes italiens, souvent présents à Arles.

Dans la première vidéo qui d’un point de vue technique est dédaignable, c’est le lieu qui donne l’impression de devenir symbolique avant même d’acquérir une notoriété. Le choix d’exposer des photographies issues de reportages ciblés, dans des circonstances conjoncturelles conflictuelles, ajoute une volonté de montrer que la photo peut en dire long sur son histoire. La violence est sous-jacente dans ces images qui incarnent, effectivement, une atteinte fondamentale à la personne que l’on devine !

Enfin, la plus inattendue de la part des Rencontres de Arles, de l’époque, fut que mon téléphone afficha un SMS annonçant une invitation à une conférence organisée par Jean Noël Jeanneney, l’illustre personne qui anime sur France Culture, chaque samedi, une émission mythique : Concordance des Temps. J’en profitais alors, et l’histoire me donnera raison, de placer mon micro afin d’enregistrer ces moments mémorables ; dans un esprit philanthropique, s’entend, relativisant la Liberté d’Expression.

Jean Canal. En directe de Arles. Ce 6 juillet 2023

L’Autre exclusivité repose, ici, spécifiquement à la Photographie, sur la présentation de Manifesto, les Rencontres de la Photo à Toulouse ou de Toulouse, en 2016.

Les ayant suivis, cette équipe sise rue Pharaon à Toulouse, constituée de plusieurs photographes toulousains, (lieu emblématique d’un Photographe en boutique argentique), je me dois de saluer leur travail dans un but de sauver la photo oubliée et celle qui ne pourra jamais être connue sans cette Manifestation à but non lucratif. Exposant d’abord au Grand Rond, en des containers métalliques, des thèmes qui rayonnaient par leurs novations insolites, déclinées dans des démonstrations de talents incontestables, ravissant les visiteurs heureux de découvrir que la photo post Jean Dieuzaide revivait à Toulouse.  L’ouverture des portes lourdes font songer à celle d’un trésor dévoilé au passionnés de photographie sous tous les angles. Notre première video de Manifesto date de cette époque… Jean Canal.